Les faits en témoignent, la petite entreprise est le socle de notre économie et de notre société. C’est pourquoi nous avons à cœur d’en défendre l’existence, la reconnaissance et le développement.
Nous avons milité sans relâche pour que cette catégorie d’entreprises, si particulière, mais si essentielle, soit reconnue pleinement et respectée en tant que telle.
Nous avons agi concrètement pour défendre leur place sur les marchés, qu’ils soient du neuf, de rénovation – énergétique en particulier -, de patrimoine ou encore d’accessibilité.
Nous avons travaillé pour que les changements réglementaires dictés par les impératifs environnementaux dont nous avons pleinement conscience, tels la REP et les ZFE, ne soient pas des freins à l’activité des entreprises artisanales du bâtiment ni des charges administratives ou financières supplémentaires.
Nous avons, aussi souvent que possible, promu les TPE, leurs atouts propres à intéresser les jeunes, et notamment ceux de la Génération Z mais également toutes celles et ceux qui cherchent un sens à leur vie professionnelle ou envisagent une reconversion.
Nous avons, enfin, porté haut la nécessité de prendre en considération les particularités de la TPE dans le dialogue social, en matière de retraite, ou encore dans les dispositifs de formation.
Dans le bâtiment, 621 803 entreprises emploient moins de 10 salariés sur un total de 643 668 entreprises. Leur accorder toute la reconnaissance qu’elles méritent est une absolue nécessité. Et c’est tout le sens de notre action.”
Jean-Christophe Repon, président de la CAPEB.